DROIT ET DÉMOCRATIE CHEZ HANS KELSEN. LA CRITIQUE KELSÉNIENNE DE LA PERSONNALISATION DE L’ÉTAT
DOI :
https://doi.org/10.1590/S0101-31732015000100005Mots-clés :
Kelsen. Durkheim. Simmel. Weber. Freud. Démocratie.Résumé
Cette étude analyse comment Kelsen, pour libérer le droit et la démocratie des traces de ce qu’il appelle les hypostases collectives ou la mythologie de l’âme collective, prend position face aux grandes théories de la sociologie et de la psychologie sociale de son temps (Durkheim, Simmel, Weber et Freud). D’abord, il s’agira de montrer comment Kelsen critique les métaphores de l’âme collective ; ensuite, de montrer comment la pensée kelsénienne sur le droit et la démocratie essaie d’échapper aux problèmes liés à la métaphore de l’âme collective. Cela peut laisser entrevoir quelques points communs
entre la théorie de Kelsen et les théories contemporaines sur le droit et la démocratie libérées des prémisses de l’idée d’une communauté homogène.
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© TRANS/FORM/AÇÃO: Revista de Filosofia 2015
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